Alejandro, le narrateur, est chercheur en ADN anciens. Pour le devenir il a du abandonner les études de médecine, au grand dam de ses parents.
Tout au long des pages et sans chronologie il raconte :
- Ses années de jeunesse au Maroc, en Espagne, sa vie d'adulte à Montreuil,
- ses parents, son père enseignant et poète, sa mère active dans l'humanitaire, leur divorce,
- Laura, sa petite sœur, brillante cadre dans un organisme bancaire, dont l'annonce de son cancer provoque un véritable séisme personnel,
- la découverte du typage HLA et la greffe de moelle ,prélevée sur lui, pour soigner sa sœur,
- Ses amis et particulièrement de Youssef,
- Son séjour à Jérusalem comme étudiant stagiaire en médecine à l'hôpital et surtout de sa rencontre avec Sacha l'archéologue - qui deviendra son ami - de leurs échanges par courriels sur la révolution en Égypte, du pillage du musée du Caire et du sauvetage d'un journal intime, vieux de plusieurs siècles, d'une certaine Aemillia,
- Son premier cours à l'institut des Mondes Anciens ( les meilleures pages )
- Ses relations , principalement sexuelles, avec Mathilde puis Azadeh,
- Les réflexions scientifico-phylosophique (qui m'ont ennuyée.),
Pour leur premier livre certains auteurs traitent trop de sujets. C'est sans aucun doute le cas de Al-Taïr , c'est dommage !
Restons positive. J'ai mis quatre étoiles. Je n'ai pas le sentiment d'avoir perdu mon temps à la lecture de ce premier roman.
Merci à Babélio et aux Éditions du Lointains de m'avoir adressé ce livre.