Fan de Ian RANKIN depuis plusieurs années, je ne peux voir apparaître un nouveau livre sans l'acquérir rapidement.
Exit REBUS, son héros depuis plusieurs années (EXIT MUSIC) , parti en retraite ; Un peu déçue par le roman qui a suivi après le départ de Rebus "PORTES OUVERTES" je me suis lancée dans le dernier ouvrage "Plaintes" .
Déçue n'est pas exactement l'expression, mais les histoires sont toujours un peu compliquées, on se perd un peu avec les nombreux personnages secondaires (policiers, entrepreneurs, promoteurs, truands...) on essaie de percer la personnalité du nouvel héros Malcolm FOX et de son collègue et ami Jamie Breck, tous les deux suspendus temporairement de la police. La différence de caractère ou de tempérament des écossais selon leur ville n'est pas pour nous lecteur français d'une toujours grande compréhension.
Enfin ceci dit, je ne me suis pas ennuyée à la lecture de ce denier ouvrage de 475 pages, malgré quelques passages un peu confus.
Attendons le prochain pour se faire une opinion ; retrouverons-nous Malcolm ?
dimanche 30 septembre 2012
lundi 17 septembre 2012
L'EX (Sylvain COURAGE)
Bon, c'est vrai ce livre n'a rien à voir avec la littérature. C'est un document sur une femme pour qui les années 2011 et 2012 ne lui ont pas été particulièrement favorables : échec cuisant à la primaire socialiste, échec cuisant aux dernières législatives.
Je n'avais pas particulièrement de sympathie pour Mme ROYAl, mais à la lecture de ce document on en éprouve quand même un peu pour elle ; notamment le fait de la voir en quelque sorte "gommée" de l'histoire de son parti par d'anciens alliés pour ne pas déplaire à la nouvelle compagne du candidat, futur président nous laisse sans voix.
En ce qui me concerne, la lecture de ce genre d'ouvrage me donne de plus en plus l'impression que les politiques et ceux qui leur tournent autour vivent dans un autre monde que le mien et sans doute celui de la majorité des français. Seule semble les intéresser leur carrière personnelle pour la réussite de laquelle ils abandonnent sans vergogne celui ou celle qu'ils soutenaient auparavant mais dont l'avenir se noircit pour celui ou celle qui "monte".
Je n'avais pas particulièrement de sympathie pour Mme ROYAl, mais à la lecture de ce document on en éprouve quand même un peu pour elle ; notamment le fait de la voir en quelque sorte "gommée" de l'histoire de son parti par d'anciens alliés pour ne pas déplaire à la nouvelle compagne du candidat, futur président nous laisse sans voix.
En ce qui me concerne, la lecture de ce genre d'ouvrage me donne de plus en plus l'impression que les politiques et ceux qui leur tournent autour vivent dans un autre monde que le mien et sans doute celui de la majorité des français. Seule semble les intéresser leur carrière personnelle pour la réussite de laquelle ils abandonnent sans vergogne celui ou celle qu'ils soutenaient auparavant mais dont l'avenir se noircit pour celui ou celle qui "monte".
lundi 10 septembre 2012
LA TERRE DES MENSONGES (Anne B. RAGDE)
J'ai découvert l'écrivain Anne B.RADGE très récemment par la lecture de "ZONA FRIGIDA". Ce premier contact m'ayant emballée je me suis empressée d’acquérir sa trilogie "la ferme de Neshov". Je viens de terminer le premier de la série "la terre des mensonge". Ce livre a été un vrai bonheur de lecture.
On s'attache à ces 3 frères aux vies si différentes : Tor, l'aîné resté à la ferme sous la coupe de la mère, qui a abandonné l'élevage des vaches pour celui des porcs, Margido, le solitaire, responsable d'une société de pompes funèbres et Erlend, décorateur homosexuel vivant en couple à Copenhague avec Krumme.
Après plusieurs années de séparation, ces trois frères vont se retrouver au moment des fêtes de Noël auprès de leur mère mourante. Ils seront rejoints par Torunn, la fille de Tor, dont l'existence était totalement inconnue des deux autres frères.
Torunn avec sa gentillesse et son amour plutôt débordant pour une famille qu'elle vient de découvrir est un vrai rayon de soleil dans cette ferme sale et triste. A la veille des obsèques de sa grand-mère, avec son oncle Erlend elle réussit à organiser une soirée de Noël réunissant les trois frères et le "père", personnage falot dont les révélations lors du dîner fera l'effet d'une bombe.
J'ai conscience que ce petit résumé ne donne peut-être pas envie de lire "la terre des mensonges" et je le regrette, car c'est un excellent livre qui non seulement nous raconte une belle histoire qui se déroule dans de beaux paysages tout en nous permettant de découvrir le quotidien de quelques norvégiens.
samedi 1 septembre 2012
LA TRAVERSEE DU PONT DES ARTS (Claude ROY)
je n'ai aucune idée comment ce livre s'est trouvé dans ma bibliothèque au rayon "livres à lire".
En cet fin de mois d'août, passant devant, surprise de le trouver, j'ai décidé de le lire.
Je ne peux pas vraiment dire que ce livre m’aie beaucoup plu ; sans penser toutefois comme l'un des personnages parlant de Charles RIVIERE, personnage principal du roman : "il m'a ennuyé au-delà de toute expression, en me bassinant pendant un heure sur la théorie des molécules non directionnelles..".
L'histoire de Charles et sa belle histoire d'amour avec Louise, qui se continue au-delà de la mort est intéressante, mais de trop nombreux passages notamment sur la notion du temps sont ennuyeux et pour moi incompréhensibles.
Si on veut lire une belle histoire d'amour vue par un veuf, je conseillerai plutôt "veuf" de Jean-Louis FOURNIER.
En cet fin de mois d'août, passant devant, surprise de le trouver, j'ai décidé de le lire.
Je ne peux pas vraiment dire que ce livre m’aie beaucoup plu ; sans penser toutefois comme l'un des personnages parlant de Charles RIVIERE, personnage principal du roman : "il m'a ennuyé au-delà de toute expression, en me bassinant pendant un heure sur la théorie des molécules non directionnelles..".
L'histoire de Charles et sa belle histoire d'amour avec Louise, qui se continue au-delà de la mort est intéressante, mais de trop nombreux passages notamment sur la notion du temps sont ennuyeux et pour moi incompréhensibles.
Si on veut lire une belle histoire d'amour vue par un veuf, je conseillerai plutôt "veuf" de Jean-Louis FOURNIER.
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