lundi 19 novembre 2018

ET SI ON DANSAIT (Erik ORSENNA)

Quatrième ouvrage de la série "L'île de la grammaire". Jeanne et Thomas sont adultes. Monsieur Henri est mort.
J'ai enchainé la lecture des 4 tomes de cette série car ils sont au programme des deux réunions du Café Littéraire de novembre auquel je participe.
Après avoir traité de la grammaire, du  subjonctif et des accents,  l'auteur  aborde dans ce dernier tome la question de la ponctuation.
Mon intérêt pour ces ouvrages a diminué au fur et à mesure de mes lectures. Si j'ai apprécié "la grammaire est une chanson douce", charmant petit conte qui fait réviser des règles de grammaire,et  été un peu déçue par les deux opus suivants, je me suis ennuyée à la lecture du quatrième "et si on dansait".
Jeanne m'a semblé particulièrement prétentieuse notamment  quand elle  parle de son travail qui consiste à rédiger, moyennant rémunération, des devoirs pour des élèves, des discours pour des politiques : 
 "C'est vrai : Jeanne n'est pas modeste. Mais quel commerçant vendrait ses produits s'il clamait partout qu'ils sont nuls" P. 15. 
S’agit-il d' humour de la part de l’auteur, ancienne plume du Président Mitterrand ?

L'histoire finit bien puisque l'amoureux indien de Jeanne, Amitav, vient la retrouver sur son île !

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