samedi 18 avril 2020

VICTIME 2117 (Jussi ADLER OLSEN)

"Victime 2117" est le premier roman  de Jussi Adler Olsen que je lis. Très vite je me rencontre que les personnages principaux ont déjà une longue  histoire commune (7 romans). Il s'agit principalement de Carl, Assad, Rose et Gordon.

Joan un  jeune journaliste-photographe en manque de travail décide de se rendre à Chypre où la mer vient de rejeter un jeune migrant sur le rivage. Lorsqu'il arrive sur la plage sont allongés des corps de migrants. Il photographie deux femmes surveillés par un homme. Elles pleurent la mort d'une troisième femme, la victime 2117. Ses photos  paraissent dans la presse. Elles sont vues par Assad. Il reconnait la victime 2117, assassinée et non morte noyée, comme la femme qui l'avait recueilli  lorsqu'il étaie enfant. Il pense reconnaître dans  les deux femmes son épouse et l'une de ses filles, qu'il n'a pas vues depuis 17 ans ,  dans  l’homme son pire ennemi, Ghaalib, un djihadiste.
Assad va enfin dévoiler son passé à ses collègues.


L’objectif  de Gahhalib est de provoquer un attentat islamiste en Europe.  Berlin sera choisi. Compte tenu du lourd passé de violence entre Assad et Ghaalib, chacun des deux désire abattre  l'autre.
Carl et Assad partent en Allemagne. Ils collaborent avec l'équipe de Herbert Weber, coordinateur de l'unité régionale de lutte contre le terrorisme.

A Copenhague Rose et Gordon essaient de localiser Alexander, le jeune lycéen "détraqué" qui menace de tuer ses parents et un maximum de personnes dès qu'il aura obtenu avec son jeu de vidéo 2117 points, en mémoire de la 2117 victime !

Pour un premier contact avec un auteur, c'est une réussite. J'ai beaucoup aimé ce livre. Les principaux protagonistes sont bien caractérisés, différents mais intéressants et sympathiques.
La lecture de ce huitième tome me  donne envie de découvrir les aventures précédentes. Je ne manquerai pas de le faire après le confinement.

L'histoire est crédible et malheureusement réelle. Outre le côté thriller, on trouve beaucoup plus que cela. Le récit d'Assad sur son passé nous parle d' une actualité cruelle et inhumaine.
 

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