En fermant "le Cercle" le lecteur avait quitté Martin Servaz effondré suite à la disparition de Marianne, son grand amour.
Dans "n’éteins pas la lumière" nous le retrouvons hospitalisé dans une maison de repos pour policier, suite à une dépression.
Le responsable des problèmes subis par Martin s'appelle Hirtmann.
Martin reçoit un courrier anonyme dans lequel se trouve la clé d'une chambre d'un grand hôtel de Toulouse. Cet événement va le sortir de sa torpeur et de l'ennui. Bien qu'en arrêt de travail il décide d'enquêter.
Christine Steinmeyer , animatrice de radio à Toulouse, trouve dans sa boîte aux lettres un courrier, anonyme dans laquelle une femme annonce qu'elle va se suicider. C'est le début pour Christine d'une série de problèmes qui s'abattent sur elle. Elle est harcelée psychologiquement, physiquement et moralement, abandonnée par son fiancé et ses collègues.
Pendant 700 pages nous allons vivre au rythme des deux personnages principaux nous allons connaître l'angoisse, la peur, la violence, faire des cauchemars, poser et se poser des questions, enquêter, assister à un viol, à des meurtres, connaître (un petit peu) la vie des cosmonautes, l'entraînement avant le départ du vol spatial, la vie à bord de la station internationale, écouter de la musique celle de Mahler, ainsi que des airs d'opéra.
les deux personnages principaux finiront par se rencontrer, résoudront-ils l'affaire ?
Dans ce troisième ouvrage, sont pratiquement absents ou à peine évoqués l'entourage habituel de Martin : Margot, sa fille, ses collègues Espérandieu et Samira , Ziegler, la capitaine de gendarmerie. mais toujours présent dans sa tête Hirtmann.
Excellent thriller, début un peu lent mais après tout s'accélère y compris le cœur du lecteur !!
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