j'ai l'impression d'avoir presque tout faux avec ce polar...
1) je suis passée complètement à côté de l'énigme, les mots soulignés je les ai vus, mais comme on dit cela ne m'a pas "interpellée".
2) au lieu de lire ce polar bien calée dans un fauteuil je l'ai emporté en vacances chez des amies...ce qui veut dire lire un ou deux chapitres par-ci, par-là, entre deux sorties ou avant de dormir (grosse erreur).
Impression sur la première moitié du roman : un peu d'ennui, de l'énervement contre Léane : pourquoi elle n'informe pas son copain Colin des problèmes qu'elle rencontre ? Comment après quatre ans de séparation, suite à la disparition de leur fille, elle peut redevenir amoureuse d'un mari un peu différent et amnésique... du moins partiellement et qui l'entraîne dans des situations périlleuses ?
Heureusement de retour à la maison, fauteuil retrouvé et un après-midi plongée avec bonheur dans la deuxième moitié du roman.... la fin m'a un peu déçue, c'est peut-être voulu puisqu'elle est écrite par le fils de l'auteur du "manuscrit inachevé" , livre qu'on nous raconte...vous me suivez ?
"le manuscrit inachevé" est un retour dans les livres de Thilliez ; je l'avais abandonné après avoir lu (en 2013) 'train d'enfer pour ange rouge" (des scènes trop cauchemardesques). Cette fois-ci soit les scènes sont moins dures, soit je me suis endurcie ? Dans ce dernier ouvrage il est notamment questions de jeunes filles enlevées, tuées, d'une création monstrueuse, de personnages sado-maso, de paysages d'hiver dans le nord et en montagne,....
Comme je l'ai signalé précédemment je confirme que je n'ai pas trop aimé le personnage de Léane, je ne la comprends pas, en revanche j'ai beaucoup apprécié celui de Vic, homme triste et malheureux mais policier d'une grande humanité.
Si les polars ne se résument pas, je précise celui-ci encore moins que les autres.
Je me permets juste deux remarques pour les futurs lecteurs :
1)Ne pas trop tenir compte de la quatrième de couverture, elle ne résume en rien l'histoire....qui est beaucoup plus complexe.
2) ne pas faire comme moi, mais lire les 524 pages presque d'une traite pour mieux apprécier cet ouvrage.
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