samedi 2 septembre 2017

PAIN, EDUCATION, LIBERTE (Petros MARKARIS)

La postface du traducteur nous indique que si le livre a été écrit en 2012, l'auteur situe son histoire en 2014 : il évoque l'abandon de l'euro et le retour au drachme. Cet événement ne s'est pas produit dans la réalité. Si le drachme est souvent évoqué dans ce roman, notamment par Adriani, l'épouse du commissaire, il ne joue aucun rôle dans l'objet principal du livre soit le côté  policier.

Comme dans le précédent (et premier) ouvrage que j'ai lu de cet auteur, le commissaire enquête sur 3 assassinats , dont le mode opérationnel est identique,  de personnes liées par leur passé de rebelles contre la junte militaire "la génération de polytechnique". Le titre du livre indique en quelque sorte l'histoire de chaque victime.

Dans ce court roman (249 pages) nous suivons avec intérêt l'avancement de l'enquête, nous participons à la vie  familiale du commissaire, et nous nous informons sur les difficultés sociales et financières des Grecs. trois sujets intéressants pour le lecteur.

Une petit problème (je n'ai plus 20 ans !!) à la lecture de ce livre : il est parfois difficile de mémoriser et ensuite d' identifier les  différents protagonistes dont les noms grecs sont  difficiles à retenir.


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